J'avais dessiné sur le sable
Son doux visage qui me souriait,
Puis il a plu sur cette plage.
Dans cet orage elle a disparu.
Et j'ai crié, crié... "Aline !". Faut qu'elle revienne.
Et j'ai pleuré, pleuré... Oh j'avais trop de peine.
Je me suis assis auprès de son âme
Mais la belle dame s'était enfuie.
Je l'ai cherchée sans plus y croire
Et sans un espoir pour me guider.
Et j'ai crié, crié... "Aline !" pour qu'elle revienne.
Et j'ai pleuré, pleuré... Oh j'avais trop de peine.
Je n'ai gardé que ce doux visage
Comme une épave sur le sable mouillé.
Et j'ai crié, crié... "Aline !". Faut qu'elle revienne.
Et j'ai pleuré, pleuré... Oh j'avais trop de peine.
Et j'ai crié, crié... "Aline !". Faut qu'elle revienne.
Et j'ai pleuré, pleuré... Oh j'avais trop de peine.
Et j'ai crié, crié... "Aline !". Faut qu'elle revienne.
Et j'ai pleuré, pleuré... Oh j'avais trop de peine.
Son doux visage qui me souriait,
Puis il a plu sur cette plage.
Dans cet orage elle a disparu.
Et j'ai crié, crié... "Aline !". Faut qu'elle revienne.
Et j'ai pleuré, pleuré... Oh j'avais trop de peine.
Je me suis assis auprès de son âme
Mais la belle dame s'était enfuie.
Je l'ai cherchée sans plus y croire
Et sans un espoir pour me guider.
Et j'ai crié, crié... "Aline !" pour qu'elle revienne.
Et j'ai pleuré, pleuré... Oh j'avais trop de peine.
Je n'ai gardé que ce doux visage
Comme une épave sur le sable mouillé.
Et j'ai crié, crié... "Aline !". Faut qu'elle revienne.
Et j'ai pleuré, pleuré... Oh j'avais trop de peine.
Et j'ai crié, crié... "Aline !". Faut qu'elle revienne.
Et j'ai pleuré, pleuré... Oh j'avais trop de peine.
Et j'ai crié, crié... "Aline !". Faut qu'elle revienne.
Et j'ai pleuré, pleuré... Oh j'avais trop de peine.
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